photo La compétition

La compétition

Velars-sur-Ouche 21370

Le 05/02/2022

Maxida et Alexa sont sœurs jumelles. Elles ont seize ans et font du kung-fu depuis l’enfance. Alexa se prépare pour le championnat de France. Maxida n’a plus envie de se battre, en tout cas, plus de cette manière-là. Repérée en ligne par un mystérieux mouvement appelé « Génération Renégats », la jeune fille accepte de relever une série de défis sans jamais poser de questions. D’épreuves en discussions avec les meneurs du jeu, Maxida devient Xam l’Explosive, une « renégate » prête à tout pour servir le mouvement. Mêlant théâtre et kung-fu, La compétition s’inspire des phénomènes d’emprise et des jeux en défi sur internet. Comment se défendre des menaces extérieures autant sur le plan physique que psychique ? Comment s’engager sans perdre son discernement et son indépendance ? La compétition, "texte remarqué" dans le palmarès 2020 des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre (concours d'écriture dramatique francophone). Un spectacle ado/adultes à partir de 13 ans. Réservation obligatoire par mail à culture@ouche-montagne.fr ou 03.80.49.77.43

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La compétition

Velars-sur-Ouche 21370

Le 05/02/2022

Maxida et Alexa sont sœurs jumelles. Elles ont seize ans et font du kung-fu depuis l’enfance. Alexa se prépare pour le championnat de France. Maxida n’a plus envie de se battre, en tout cas, plus de cette manière-là. Repérée en ligne par un mystérieux mouvement appelé « Génération Renégats », la jeune fille accepte de relever une série de défis sans jamais poser de questions. D’épreuves en discussions avec les meneurs du jeu, Maxida devient Xam l’Explosive, une « renégate » prête à tout pour servir le mouvement. Mêlant théâtre et kung-fu, La compétition s’inspire des phénomènes d’emprise et des jeux en défi sur internet. Comment se défendre des menaces extérieures autant sur le plan physique que psychique ? Comment s’engager sans perdre son discernement et son indépendance ? La compétition, "texte remarqué" dans le palmarès 2020 des Journées de Lyon des Auteurs de Théâtre (concours d'écriture dramatique francophone). Un spectacle ado/adultes à partir de 13 ans. Réservation obligatoire par mail à culture@ouche-montagne.fr ou 03.80.49.77.43

photo L'Opéra à votre porte -

L'Opéra à votre porte - "Celui qui tombe" de Yoann Bourgeois

Darcey 21150

Le 10/03/2022

Yoann Bourgeois Celui qui tombe dès 7 ans Depuis sa création en 2014 à la Biennale de la Danse de Lyon, Celui qui tombe n’a pas cessé de tourner… mais aussi de se balancer, de se redresser, de se dérober sous les pieds de ses interprètes ! À quel jeu jouent-ils donc, embarqués sur cet inoubliable plateau de la Méduse – et comment ne pas voir combien ils nous ressemblent ? Yoann Bourgeois fait-il du cirque, de la danse, du théâtre ? Peu importe. Il propose des images, au sens de Bachelard, qu’il aime à citer : non pas des idoles inertes, mais la matière première et changeante de l’imagination, puissance active et déformante, qui est « dans le psychisme humain l’expérience même de l’ouverture, l’expérience même de la nouveauté ». Ces images nourricières de notre expérience, il les construit à la manière d’un physicien du sensible. Son monde est d’abord celui de Newton. Il est donc expérimental. L’humain, sans privilège, s’y tient d’abord à l’égal des choses. Appliquez une force à sa masse, son mouvement en sera modifié. Appliquez-en plusieurs (gravitationnelle, centrifuge…), leurs effets s’additionneront. Comment donc un corps humain, plongé dans un champ de telles forces,[...]

photo L'Opéra à votre porte -

L'Opéra à votre porte - "Celui qui tombe" de Yoann Bourgeois

Théâtre

Darcey 21150

Le 10/03/2022

Yoann Bourgeois Celui qui tombe dès 7 ans Depuis sa création en 2014 à la Biennale de la Danse de Lyon, Celui qui tombe n’a pas cessé de tourner… mais aussi de se balancer, de se redresser, de se dérober sous les pieds de ses interprètes ! À quel jeu jouent-ils donc, embarqués sur cet inoubliable plateau de la Méduse – et comment ne pas voir combien ils nous ressemblent ? Yoann Bourgeois fait-il du cirque, de la danse, du théâtre ? Peu importe. Il propose des images, au sens de Bachelard, qu’il aime à citer : non pas des idoles inertes, mais la matière première et changeante de l’imagination, puissance active et déformante, qui est « dans le psychisme humain l’expérience même de l’ouverture, l’expérience même de la nouveauté ». Ces images nourricières de notre expérience, il les construit à la manière d’un physicien du sensible. Son monde est d’abord celui de Newton. Il est donc expérimental. L’humain, sans privilège, s’y tient d’abord à l’égal des choses. Appliquez une force à sa masse, son mouvement en sera modifié. Appliquez-en plusieurs (gravitationnelle, centrifuge…), leurs effets s’additionneront. Comment donc un corps humain, plongé dans un champ de telles forces,[...]

photo L'Inventeur Compagnie les Encombrants

L'Inventeur Compagnie les Encombrants

Théâtre, Artisanat

Saulieu 21210

Le 11/03/2022

Pièce de théâtre « Avec Gérard Obbe, adieu les soucis, au revoir les tracas, mais surtout, terminé les problèmes ! C’est simple et c’est pas com… pliqué, c’est simple mais il fallait y… penser !!! » Ici, rien n’est à vendre…Gérard Hobbe, artisan de son état, opiniâtre et généreux, génial mais incompris, va démontrer en direct son savoir-faire et présenter ses inventions au public : de la poignée de porte extensible, à la bi-pelle bi-balayette (qui permet de récupérer toute la poussière sale en un seul mouvement

photo Symphonie n°1 en sol mineur de TCHAIKOVSKY / Concerto N°2 pour piano  de RACHMANINOV / Concert de La Chambre Symphonique

Symphonie n°1 en sol mineur de TCHAIKOVSKY / Concerto N°2 pour piano de RACHMANINOV / Concert de La Chambre Symphonique

Musique

Beaune 21200

Le 05/03/2022

Cet hiver, La Chambre Symphonique vous emmène pour un voyage en Russie à travers deux œuvres à la fois tendres et remarquables : La Symphonie n°1 de Tchaïkovski, écrite au printemps 1866 et surnommée « Rêves d'hiver », nous plonge dans les réminiscences hivernales ressenties par Tchaïkovski durant son voyage de Saint-Pétersbourg à Moscou et lors de son séjour sur les îles Valaam. Elle rend également hommage à Mendelssohn, qu’il admirait tout particulièrement pour sa capacité à décrire dans une symphonie un paysage et la beauté de la nature. Il n’en demeure pas moins que c’est à travers un lyrisme généreux et une coloration tonale très riche que cette symphonie nous emporte avec « beaucoup de rêve et peu d’hiver, tout au moins peu d’hiver de la nature mais un hiver de l’âme, où triomphe une mélancolie diffuse, très russe… » Vous aurez ensuite le plaisir d’entendre le 2ème Concerto pour piano de Rachmaninov, interprété par la soliste Yuki Ito (étudiante en master au CNSMD de Lyon). Créé en 1901 à Moscou, c’est véritablement de la propre vie de Rachmaninov dont il s’agit : saisissant par l’esprit grave et torturé du premier mouvement, l’espoir du second et enfin la rédemption[...]

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Musique, Competition sportive

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]

photo Requiem(s)

Requiem(s)

Dijon 21000

Le 13/05/2025

Dans Requiem(s), les dix-neuf danseurs dirigés par Angelin Preljocaj donnent chair et matière à certaines des plus belles pages de la musique religieuse: une bouleversante méditation chorégraphique sur la vie et la mort. La nouvelle chorégraphie d’Angelin Preljocaj est construite autour d’une forme musicale qui a longtemps résumé un certain rapport occidental à la mort. Loin pourtant d’une liturgie funèbre, les danseurs de Requiem(s) livrent à travers cette forme dans laquelle d’innombrables compositeurs se sont illustrés, un véritable requiem chorégraphique, où les œuvres musicales devraient apparaître dans un alliage contrasté, laissant la part belle à des créations sonores aux atmosphères contemporaines. Introspective plus que solennelle, cette nouvelle création explore les sentiments de la perte, mais aussi ceux de la joie de vivre, opposant à l’idée de la finitude l’exubérance et le mouvement des corps. Une œuvre contemporaine préoccupée par les disparitions que porte notre crise écologique, mais qui décèle partout, à travers la mort, la résurgence du miracle de la vie.

photo Orchestre des Champs-Elysées

Orchestre des Champs-Elysées

Dijon 21000

Le 20/05/2025

Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une œuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques»! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédent un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration[...]

photo Requiem(s)

Requiem(s)

Musique, Danse - Bal - Cabaret

Dijon 21000

Le 13/05/2025

Dans Requiem(s), les dix-neuf danseurs dirigés par Angelin Preljocaj donnent chair et matière à certaines des plus belles pages de la musique religieuse: une bouleversante méditation chorégraphique sur la vie et la mort. La nouvelle chorégraphie d’Angelin Preljocaj est construite autour d’une forme musicale qui a longtemps résumé un certain rapport occidental à la mort. Loin pourtant d’une liturgie funèbre, les danseurs de Requiem(s) livrent à travers cette forme dans laquelle d’innombrables compositeurs se sont illustrés, un véritable requiem chorégraphique, où les œuvres musicales devraient apparaître dans un alliage contrasté, laissant la part belle à des créations sonores aux atmosphères contemporaines. Introspective plus que solennelle, cette nouvelle création explore les sentiments de la perte, mais aussi ceux de la joie de vivre, opposant à l’idée de la finitude l’exubérance et le mouvement des corps. Une œuvre contemporaine préoccupée par les disparitions que porte notre crise écologique, mais qui décèle partout, à travers la mort, la résurgence du miracle de la vie.